On a vu la semaine dernière que la Mafia sicilienne, Cosa Nostra, préfère désormais le business souterrain au vacarme des armes. Le racket de la population, qu’on appelle le pizzo, a lui aussi évolué. Cosa Nostra ne tue plus les récalcitrants, elle s’est transformée en « société » de services, ainsi les citoyens continuent à payer en échange d’avantages.
Global Village: Addiopizzo, the grassroots anti-Mafia movement in Palermo, Sicily
Fonte: Stuff.co.nz
From market traders to restaurant owners and shopkeepers, around 80 per cent of the city’s small businesses have traditionally paid protection money – known as ‘pizzo’ in local Palermo slang – to the local Mafia.



